4 septembre 2008
Vacances forcées : Enlèvement à la maison blanche
J’enfourchais ma bécane et fit vrombir le moteur. J’allais à la maison d’édition. Il était plus de huit heures du soir, et il faisait déjà nuit. On était le 3 janvier. Il n’y avait personne dans les rues. J’entendais quand je passais devant certaines...