3 février 2009
23 janvier
Parce que deux secondes peuvent changer une rencontre,
Quand timidité joue a cache cache contre la montre,
Quand un baisé depuis tant tellement attendu,
Enfin se pose fébrile, rapide mais non impromptu.
Parce qu'une semaine peut paraître une éternité,
Quand le temps devient une véritable monstruosité,
Quand Chronos de son sablier nous torture,
Enfin nous voilà jetées pour de bon dans l'aventure.
Parce qu'un mois vraiment c'est rapide à s'écouler,
Quand les doutes et les discordes ternissent l'épopée,
Quand les réconciliations et les confessions nous rapprochent,
Enfin ce baiser, de vers, je le marque d'une encoche.
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